Il est dit qu’entre 60 et 80% des voyageurs dans les régions tropicales, subtropicales et en voie de développement sont touchés par cette gastro-entérite pénible.
Bien que le risque soit plus élevé dans ces régions, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) nous rappelle que l’hygiène peut laisser à désirer n’importe où, il est donc préférable de prendre ses précautions1,2.
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La tourista fait habituellement son entrée dans les premiers 3 à 5 jours du séjour.
Elle se présente le plus souvent comme une diarrhée liquide sans fièvre et sans sang.
Un bon nombre de bactéries sont responsables de la contamination, la plus connue et la plus fréquente est sans contredit la Escherichia coli entérotoxinogène aussi connue sous sa forme abrégée de E. coli.
Le mécanisme d’action de la bactérie E. coli se traduit par la production d’une entérotoxine (substance toxique qui cible les intestins) qui provoque un flux d’eau et d’électrolytes dans la lumière intestinale, ayant pour effet de ramollir les selles et d’avoir une diarrhée3.
Les autres bactéries causant ce maux sont la Salmonelle, la Shigella, et le Campylobacter. La maladie peut aussi parfois être causée, bien que moins souvent par des parasites comme les Giardia, les Cryptosporidium, les Cyclospora ou par des virus tels que le rotavirus ou le norovirus1,2.
Au-delà des conseils mentionnés ci-dessus, il existe deux types de produits qui peuvent réduire les risques d’infection.
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